RDC/ Min.Environnement : C.Nyamugabo, victime d’un complot pour son engagement à la réussite du mandat de F.Tshisekedi

Les ennemis de la réussite du premier quinquennat du président Félix Tshisekedi ne désarment pas.

Le schéma est clair. Il s’agit de fragiliser les membres du gouvernement qui sont déterminés à la matérialisation de la vision du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, notamment de relever le secteur environnemental de la République Démocratique du Congo (RDC).

Ainsi, les cibles ont été bien choisies parmi lesquelles Claude Nyamugabo Bazibuhe.

En effet, depuis le soir du 17 mai, un réseau bien connu a fomenté une série d’articles distribués dans différents médias sous couvert des tribunes pour salir l’image du ministre de l’Environnement et Développement Durable avec une succession des griefs évoquant l’exploitation illégale et commerce illicite des bois, allocation et octroi des concessions forestières, clientélisme et la non prise en compte des services techniques du ministère.

Un agent du ministère de l’Environnement et Développement Durable qui a été contacté par ce réseau, a dévoilé les mobiles de ce complot.

L’installation d’un conseil de tutelle à l’Agence Congolaise de l’Environnement ainsi que le changement et l’affectation des directeurs généraux. Il est donc clair que ce réseau vise autre chose que dénoncer la mégestion qui n’existe que dans la tête des ennemis de la réussite du mandat du président Félix Tshisekedi.

La transparence imprimée par Claude Nyamugabo

Le ministère de l’Environnement et Développement Durable est membre du comité de pilotage de l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale (CAFI) qui a fait signer une feuille de route pour la mise en exécution du programme de gestion durable des forêts qui sera financée par l’Agence Française de Développement (AFD).

Le ministre Nyamugabo a d’ailleurs, signé et accepté la revue légale des concessions forestières qui sera exécutée par un fonctionnaire international indépendant recruté pour la cause.

Les instigateurs de ce réseau ont mal cousu leurs mensonges. Il est connu de tous que pour exploiter du bois, il faut un permis de coupe industrielle qui du reste, est établi par un organe technique qu’est la direction de la gestion forestière signé ensuite par le ministre sous la couverture du secrétaire général de l’Environnement et Développement Durable. Et ce, obligatoirement et annuellement.

La licence d’exploitation et commerce est délivrée par la même direction technique sans que le ministre ne signe.

Nyamugabo n’a octroyé aucun centimètre de sol pour l’exploitation

Ce réseau a allégué sans maîtrise des dossiers que le ministre Nyamugabo a signé : 9 contrats couvrant 2 millions d’hectares des forêts.

Il est à signaler qu’il n’y a pas eu d’allocation encore moins d’octroi d’un seul centimètre du sol pour exploitation. Il a plutôt été question de changement de dénomination et le code forestier le permet allègrement.

Plusieurs entreprises ont déjà œuvré sous cette cape dont Tranzem devenu Orgaman puis aujourd’hui IFCO. Cela n’a jamais fait l’objet de bruit parce que c’est reconnu comme tel.

D’ailleurs, il est à relever que le dossier est sur la table de la Primature où le conseiller principal du Premier ministre en charge de l’Environnement et de surcroît ancien ministre de ce secteur a dû écouter puis confronté la société civile environnementale et les experts techniciens du ministère pour avoir de la lumière sur cette question. Les éclairages conséquents et légaux ont été apportés.

Aucune mise en place n’a été effectuée

S’agissant d’une prétendue mise en place opérée dans l’administration le 6 février 2020 en violation de l’instruction du directeur de cabinet du chef de l’État, il n’en est nullement question.

Le ministre tenant compte des faiblesses managériales constatées dans le chef de certains directeurs, a tout simplement procédé à une permutation interne de 3 cadres afin de renforcer l’efficacité du service. Ainsi, seuls trois directeurs-chefs de services ont été concernés alors que tous ont conservé leur grade.

Evoquant la question du conseil de tutelle à l’Agence congolaise de l’environnement, il s’agit d’une structure provisoire qui a toujours existé depuis des années et opérationnalisé par les prédécesseurs du ministre Nyamugabo et ce, en attendant la nomination par le chef de l’État, des membres du conseil d’administration.

D’ailleurs, faut il mentionner que c’est dans la même logique qu’un chargé de mission et un chargé de mission adjoint sont désignés depuis plus de 5 ans par le ministre en charge de l’ Environnement et ce, en attendant la nomination par le chef de l’État d’un directeur général et d’un directeur général adjoint.

En outre, les allégations sur les missions de service réservées aux proches du ministre ne tiennent pas la route car les différents ordres de mission établis à cet effet faisant foi, il n’ est pas de l’habitude du ministre de balancer les documents officiels sur les réseaux sociaux.

Il faut noter que le ministre Nyamugabo a astreint l’administration à une obligation de résultats performance en faisant signer à tous les coordonnateurs provinciaux un acte d’engagement pour permettre l’atteinte des assignations budgétaires en cette année de l’Action décrétée par le président de la République, Félix Tshisekedi.

Le ministre ministre de l’Environnement et Développement Durable, Claude Nyamugabo, reste déterminé à la réussite du mandat du président de la République.

Déjà sous peu, il va doter le pays d’une politique forestière nationale au même titre que le Brésil, pays avec lequel la RDC partage une bonne partie des ressources forestières mondiales.

Toujours dans le but de relever le secteur environnemental congolais, Claude Nyamugabo avait signé un mémorandum d’entente avec le Gabon afin de renforcer la coopération entre les deux pays dans les domaines de l’environnement, de la gestion durable des écosystèmes forestiers, de l’industrialisation de la filière bois, de la conservation, de la gestion des aires protégées (la forêt équatoriale…), ainsi qu’en matière de lutte contre les changements climatiques.