DAS

La question des déchets au cours de ces dernières décennies en République Démocratique du Congo est devenue une préoccupation majeure car la production journalière moyenne des déchets solides dans la ville de Kinshasa est estimée à 10 000 tonnes et le taux d’assainissement n’est estimé qu’à 20% sur l’étendue du pays.

        C’est ce qui ressort de l’audience que la Vice première Ministre Ministre de l’environnement et développement durable, Ève Bazaiba Masudi

Une étude socioéconomique a été menée dans la Commune de la N’Sele pour permettre aux acteurs du secteur de l’assainissement et de l’hygiène de développer le marketing d’assainissement de cette Commune devant passer par la possession des latrines modernes en lieu et place des latrines traditionnelles.

C’est à l’hôtel VENUS de Kinshasa que, s’est tenu ce mardi 29 juin 2021 l’atelier de lancement du programme panafricain d’assainissement total et inclusif à l’échelle de la ville par l’association africaine de l’eau sous le Haut Patronage de la Vice-Primature et Ministère de l’Environnement et Développement Durable (VPM-MEDD).

Globalement, l’objectif de ce programme se basant dans l’approche d’assainissement total et inclusif à l’échelle de la ville (CWIS), vise à atteindre l’assainissement universel pour toute la population des villes ciblées par le Programme, prenant en compte la gestion en toute sécurité des déchets humains; la récupération efficace des ressources générées tout au long de la chaîne d’assainissement par une diversité de solutions techniques qu’elles soient autonome ou collectives.

Cher(e)s Congolais et Congolaises, si chacun et chacune peut éviter de considérer les caniveaux comme des poubelles et en assurer une propreté convenable.